La préparation inhabituelle de Stéphane Bern pour l’éternité #
Dans le cadre verdoyant de sa propriété située dans le Perche, il a choisi de préparer sa dernière demeure : une tombe dans son jardin.
Cette révélation, faite lors d’une interview avec Ouest-France, souligne non seulement son attachement à son domicile mais aussi sa vision pragmatique de la vie et de la mort. Bern explique qu’il visite de temps en temps ce lieu, qui reste sans nom ni dates, pour méditer sur la nature éphémère de l’existence.
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Un sanctuaire personnel au milieu du patrimoine #
En 2013, Stéphane Bern a acquis le Collège royal et militaire de Thiron-Gardais, un édifice du XVIIe siècle, pour un montant de 300 000 euros. Les rénovations nécessaires et l’entretien de ce bâtiment historique lui ont coûté environ 4 millions d’euros, une somme qu’il a financée en vendant d’autres biens et en s’endettant.
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Ce lieu, chargé d’histoire, représente pour Bern plus qu’une maison ; c’est un projet de vie où il trouve la tranquillité loin de l’agitation parisienne. Il y vit une existence apaisée, entouré de ses animaux et immergé dans un cadre qui inspire le calme et la réflexion.
Le choix d’une vie à la campagne #
Stéphane Bern a exprimé à plusieurs reprises son amour pour la vie à la campagne, qui contraste fortement avec le rythme effréné de la capitale. Résider à Thiron-Gardais lui permet de jouir d’une « respiration » nécessaire, comme il le mentionne, et d’un environnement propice à une vie plus saine et moins stressante.
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« Les mondanités, ça n’a jamais été trop mon truc », avoue-t-il dans l’interview, affirmant préférer la simplicité et l’authenticité de sa vie actuelle, entouré de nature et d’histoire, loin des superficialités souvent associées à la vie urbaine et médiatique.
La mort abordée avec philosophie #
Stéphane Bern voit la préparation de sa tombe non comme un acte morbide, mais comme une démarche empreinte de sagesse. « N’oublie pas que tu redeviendras poussière », se rappelle-t-il lors de ses visites à ce lieu singulier, qui est pour lui un moyen de mettre de l’ordre dans ses affaires personnelles et de se confronter sereinement à la réalité de la mort.
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Cette approche de la vie comme de la mort révèle une facette de sa personnalité souvent méconnue du grand public : un homme qui embrasse pleinement toutes les dimensions de l’existence, y compris sa finitude.
- Stéphane Bern : un homme de patrimoine
- La tranquillité de la vie à la campagne
- La préparation personnelle face à la mortalité
« Je me dis : ‘N’oublie pas que tu redeviendras poussière’. Parler de la mort n’a rien de morbide. »
En conclusion, Stéphane Bern nous offre une leçon sur l’importance de la préparation et de l’acceptation, des thèmes universels qui résonnent bien au-delà de son jardin du Perche.
C’est plutôt inspirant de voir quelqu’un d’aussi célèbre s’attaquer à un sujet aussi tabou avec autant de sérénité. 😌
Je ne sais pas si je pourrais faire la même chose, avoir une tombe dans mon jardin me ferait peur je pense!
Est-ce légal d’avoir sa propre tombe dans son jardin en France?
Je trouve cela un peu macabre, même si je comprends l’idée de sérénité derrière. 🤔
Cela me semble être un acte de courage plutôt qu’autre chose. Chapeau, Monsieur Bern!
Une démarche fascinante et étrange à la fois. Cela ne rend-il pas le jardin un peu sombre?
Je me demande si cela ne va pas affecter la valeur de sa propriété… Qui voudrait acheter une maison avec une tombe dans le jardin?
Savoir mourir est un art, et semble-t-il que Stéphane Bern l’a bien compris. Bravo!
Un peu morbide, non? Je préfère ne pas penser à la mort moi-même. 😬
Merci pour cet article. Cela montre une facette très intime et profonde de Stéphane Bern.
Je trouve ça beau, la façon dont il accepte la mort comme partie intégrante de la vie. 👏
Est-ce que Stéphane Bern organise des visites guidées de sa tombe? J’aimerais bien voir ça! 😂
Je pense que chacun devrait pouvoir décider de la manière dont il veut être rappelé après sa mort. C’est respectueux.