Quand Franck Dubosc surprend : il discute de son nouveau film et des réactions

Le 1er janvier 2025, Franck Dubosc a marqué les esprits avec la sortie de son troisième film en tant que réalisateur, "Un ours dans le Jura".

Un nouveau tournant dans la carrière de Franck Dubosc #

Connu pour ses rôles comiques, il a cette fois-ci opté pour une oeuvre plus sombre, jouant aux côtés de Benoît Poelvoorde et Laure Calamy.

Dans une interview récente avec Paris Match, Dubosc a exprimé son appréciation pour les réactions divergentes : « Ça me flatte que les gens soient surpris. » Malgré certaines critiques, il reste ferme sur ses choix artistiques, prouvant sa polyvalence dans le cinéma.

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La réaction de Dubosc face aux critiques #

Franck Dubosc n’est pas étranger aux critiques. Il admet trouver une source d’inspiration dans les commentaires, qu’ils soient positifs ou négatifs. « J’adore lire les critiques, c’est très nourrissant, » a-t-il confié lors de l’interview, ajoutant qu’il avait souvent partagé les opinions de la presse même quand elles n’étaient pas en sa faveur.

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Il a également exprimé un désir de surprendre et de gagner le respect de ceux qui doutent de son sérieux en tant que réalisateur. « Laissez-moi vous étonner, accordez-moi le bénéfice du doute, » a-t-il plaidé, soulignant son engagement envers son nouveau rôle artistique.

Les défis du tournage #

Le processus de création de « Un ours dans le Jura » n’a pas été sans défis pour Dubosc. Particulièrement, le tournage de scènes dans un club libertin et une scène d’amour dans une voiture ont mis à l’épreuve sa pudeur. « J’ai été très gêné, » admet-il. Ces expériences ont révélé ses limites en tant que réalisateur confronté à des scènes intimes.

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Il a néanmoins reconnu l’importance de ces scènes pour l’authenticité du film. « Ces scènes étaient nécessaires pour refléter la réalité que je voulais montrer, » explique Dubosc, qui trouve plus aisé de diriger des scènes de violence que des scènes d’amour.

Vers une nouvelle image #

Franck Dubosc a longtemps été étiqueté comme le « rigolo » du cinéma français, mais il est prêt à démontrer qu’il est capable de bien plus. « Mieux vaut partir de tout en bas et progresser, » dit-il, optimiste quant à sa capacité de réinventer sa carrière.

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Il est convaincu que le meilleur reste à venir : « J’ai la chance de ne pas avoir encore tout dit ni tout montré de moi. » Cette déclaration montre son enthousiasme continu pour l’exploration de nouveaux territoires artistiques.

  • Franck Dubosc réalise son troisième film.
  • Il joue un rôle dramatique aux côtés de Benoît Poelvoorde et Laure Calamy.
  • Il répond aux critiques avec assurance et voit cela comme une source d’inspiration.
  • Des scènes de tournage délicates montrent ses défis en tant que réalisateur.
  • Il est déterminé à changer son image de « rigolo » à un artiste plus complet.

« Laissez-moi vous étonner, accordez-moi le bénéfice du doute. »

Cette citation de Franck Dubosc, tirée de son interview, résume parfaitement son appel à une réévaluation de sa carrière et ses capacités artistiques par le public et la critique.

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